C’est l’une des plus grande figure révolutionnaire de la région de « ath aidel » ; lui qui s’est donné pour que ce pays soit libre, tombé en champs d’honneurs avec son fils et son frère ;
Ouallem Seddik connu chez ses siens Seddik Ath Ali né le 03 Février 1913 a Tachewaft commune de Bouhamza tribu Ath Aidel ; son père Mohand et sa mère Dehgane Safia
Il a toujours détesté l’existence française dans son pays Algérie et Dès son jeune âge il a porté un grand intérêt à la politique de cette époque c’est pour cela qu’il a quitté son village dans les année 40 pour rejoindre Alger et la bas il s’est adhéré au parti du peuple algérien (PPA), au déclenchement de la guerre de la révolution il a rejoint le FLN et a décidé de retourner a son village pour organiser la révolution dans tout la région de « Ath Aidel » ; la bas il a engagé des hommes, il a même crée le premier centre de formation des infirmiers dans la région de Tamokra , pour doter la révolution quand c’est nécessaire
Grâce à ses qualités et sa bonne réputation auprès des habitants, il organisé et mobilisé tout le aârch d’Aït Aidel, il installa des comités de villages, qu’il chargea de l’exécution des instructions et des décisions de l’ALN, et grâce à son expérience et son bon sens de gestion, il fut vite nommé comme adjudant des moussebiline.
Outre, l’organisation politico administrative de la région, il ne cessa d’attaquer les postes militaires qui commençaient à pousser dans la région comme des champignons vue la difficulté et l’impossibilité de soumettre cette dernière.
Les premiers postes qu’il a attaqués sont : Trouna, l’école de Seddouk Ouadda, Amalou et Seddouk- centre, qui est devenu le poste de commandement de toutes les unités de l’armée française dans la région.
En 1956, lors d’une attaque contre le poste de Seddouk centre il fut gravement blessé à l’épaule et soigné dans une infirmerie à Tachouaft
Ses triomphes et ses exploits l’ont vite élevé au rang des officiers de l’ALN ; peu après, il devient aspirant. Après avoir monté plusieurs actions militaires et remporté de brillantes victoires Ouallam Seddik est tombé au champ d’honneur avec l’un de ses frères et son fils le 03 juillet 1958 lors d’une embuscade à Tighaziwine à Amalou Sidi Yahia.
Après cela l’armée française a ramené les trois corps à « Tajmaath » du village Akourma et a fait sorti les habitant par force pour qu’ils identifient les corps et quand ils ont su que c’était le grand Seddik Ouallem (Seddik Ath Ali) tout le monde a pleuré et la tristesse a régné dans les cœurs et dans tout les villages de .la région
Quand le chanteur Zerrouki Allaoua a appris la nouvelle en France, il a pleuré et a transformé sa tristesse en un poème chanté dans l’istikhbar de sa fameuse chanson « lwejab n was-a »
wacu n lwejab n was-a
a yul-iw ḥzen
yewḍ-ed lexber ar taddart
ḍi tajma3t imi t-id sersen
ah a lwaɛḍ n rebbi
sufɣen-d lɣaci at ɛaqlen
iẓri-w seg meṭṭi imḥa
yehmel icfa
ma ḍ-ul-iw yugi aḍ yeṣber...........1
Source: Rachid Adjaoud (ancien combattant de Seddouk)
1....................... le dernier pararaphe a été ajouté apres avoir effectué quelques recherches sur la chanson de "lwajeb n wassen " la ou la famille et les amis du chanteur ainsi quelques vieux de village ont confirmé que l'istikhbar de la chanson est dedié a Ouallem Seddik
Source: Rachid Adjaoud (ancien combattant de Seddouk)
1....................... le dernier pararaphe a été ajouté apres avoir effectué quelques recherches sur la chanson de "lwajeb n wassen " la ou la famille et les amis du chanteur ainsi quelques vieux de village ont confirmé que l'istikhbar de la chanson est dedié a Ouallem Seddik
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